Samedi 25 octobre 2025 - Gignac - Réception dans l'Ordre d'Alex BEDES, médecin colonel des sapeurs-pompiers
Le samedi 25 octobre 2025, dans l'auditorium du PPESU du SDIS 34 à Gignac, Alex BEDES, médecin colonel des sapeurs-pompiers, a reçu des mains du contrôleur général Eric FLORES, directeur départemental du SDIS 34, les insignes de chevalier dans l'ordre national du Mérite, en présence de Patrick SANDEVOIR, président national de l'ANMONM, Yvan MARCOU, président départemental, Jacques RIGAUD, vice-président du conseil départemental, l'état-majot du SDIS 34, de sa famille et de très nombreux invités.
Patrick SANDEVOIR, Alex BEDES, Eric FLORES, Yvan MARCOU
Discours d'éloge d'Antoine 18 ans, à son grand-père, pour la remise des insignes de chevalier de l'ordre national du Mérite.
Monsieur le Contrôleur Général,
Mesdames, Messieurs les pompiers,
Mesdames, Messieurs,
Aujourd’hui, nous sommes réunis pour honorer un homme dont la vie toute entière s’est tournée vers le service, le courage et la bienveillance ;
un homme dont la vocation n’a jamais été un métier, mais un engagement : celui du Médecin Colonel Alex Bédès.
Alex Bédès, c’est un homme qui rassure d’un regard, qui console d’un mot, et qui, sans jamais chercher les honneurs, a choisi d’être là où l’on a besoin de lui.
Quand d’autres hésitent, il avance.
Quand tout chancelle, il demeure.
Quand la peur s’installe, il agit.
Car être médecin, c’est soigner.
Mais être médecin anesthésiste-réanimateur et médecin des sapeurspompiers, c’est aller plus loin : c’est soigner au milieu du chaos, c’est porter
secours quand tout s’y oppose, c’est choisir, encore et toujours, la vie.
Il s’est fait hélitreuiller dans des vallées, Il a rejoint ceux que la détresse isolait, Il a posé sa main sur des blessures visibles
Et rendu l’espérance aux coeurs les plus fragiles.
Mais il n’est pas seulement un médecin hors pair, c’est aussi un mari, un père, un grand-père exemplaire, un guide. Sa fille a suivi ses traces dans la
médecine, preuve que la vocation se transmet quand elle naît de l’exemple, du respect et de l’amour.
Et pour moi, son petit-fils, il est au-delà d’un pompier ou médecin en uniforme. Il est ce modèle silencieux ou pas, celui qui enseigne que la persévérance n’est pas un mot mais un art de vivre et qu’il faut toujours espérer, toujours se battre même quand tout semble perdu. Et s’il y a deux voies à choisir, celle de l’abandon et de la facilité, il faut toujours prendre celle de la liberté et toujours choisir le chemin de l’honneur.
Aujourd’hui, la République le distingue de l’Ordre national du Mérite. Mais, au fond, cette médaille amplement méritée vient avant tout reconnaître ce
que nous savons tous, qu’Alex a mérité bien plus qu’un insigne mais mérité notre admiration
Car cette décoration n’est pas seulement un symbole, c’est un reflet, le reflet d’une vie donnée, d’une âme engagée.
Alors en ce jour, puisses-tu recevoir cette distinction comme un écho de toutes les vies que tu as touchées, de tous les regards que tu as rassurés, de
toutes les flammes que tu as calmées. Car les hommes exemplaires ne cherchent pas la lumière : ils la portent. Et aujourd’hui, cette lumière, c’est
la tienne, éclatante, juste, et profondément humaine.
Mesdames, Messieurs les pompiers,
Mesdames, Messieurs,
Aujourd’hui, nous sommes réunis pour honorer un homme dont la vie toute entière s’est tournée vers le service, le courage et la bienveillance ;
un homme dont la vocation n’a jamais été un métier, mais un engagement : celui du Médecin Colonel Alex Bédès.
Alex Bédès, c’est un homme qui rassure d’un regard, qui console d’un mot, et qui, sans jamais chercher les honneurs, a choisi d’être là où l’on a besoin de lui.
Quand d’autres hésitent, il avance.
Quand tout chancelle, il demeure.
Quand la peur s’installe, il agit.
Car être médecin, c’est soigner.
Mais être médecin anesthésiste-réanimateur et médecin des sapeurspompiers, c’est aller plus loin : c’est soigner au milieu du chaos, c’est porter
secours quand tout s’y oppose, c’est choisir, encore et toujours, la vie.
Il s’est fait hélitreuiller dans des vallées, Il a rejoint ceux que la détresse isolait, Il a posé sa main sur des blessures visibles
Et rendu l’espérance aux coeurs les plus fragiles.
Mais il n’est pas seulement un médecin hors pair, c’est aussi un mari, un père, un grand-père exemplaire, un guide. Sa fille a suivi ses traces dans la
médecine, preuve que la vocation se transmet quand elle naît de l’exemple, du respect et de l’amour.
Et pour moi, son petit-fils, il est au-delà d’un pompier ou médecin en uniforme. Il est ce modèle silencieux ou pas, celui qui enseigne que la persévérance n’est pas un mot mais un art de vivre et qu’il faut toujours espérer, toujours se battre même quand tout semble perdu. Et s’il y a deux voies à choisir, celle de l’abandon et de la facilité, il faut toujours prendre celle de la liberté et toujours choisir le chemin de l’honneur.
Aujourd’hui, la République le distingue de l’Ordre national du Mérite. Mais, au fond, cette médaille amplement méritée vient avant tout reconnaître ce
que nous savons tous, qu’Alex a mérité bien plus qu’un insigne mais mérité notre admiration
Car cette décoration n’est pas seulement un symbole, c’est un reflet, le reflet d’une vie donnée, d’une âme engagée.
Alors en ce jour, puisses-tu recevoir cette distinction comme un écho de toutes les vies que tu as touchées, de tous les regards que tu as rassurés, de
toutes les flammes que tu as calmées. Car les hommes exemplaires ne cherchent pas la lumière : ils la portent. Et aujourd’hui, cette lumière, c’est
la tienne, éclatante, juste, et profondément humaine.
